Jouer avec une Barbie scientifique, ingénieure, astrophysicienne, microbiologiste ou célèbre biologiste… On se dit que tout est possible et que l’on peut changer le monde ! 

Quand on vous dit que Barbie n’est pas forcément celle que vous croyez… Elle encourage les petites filles à envisager des carrières dans l’univers des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques (STIM) Barbie confirme encore une fois son engagement pour faire évoluer la société. Avec la création de poupées uniques à l’effigie de femmes leaders dans le domaine des STIM, Barbie touche aussi tous les continents. Véritables modèles d’identification, ces poupées ont vocation à inspirer les enfants pour qu’ils développent et conservent un intérêt pour ce domaine. les préjugés en prennent un cou et on adore ça ! Alors, on joue à la Barbie scientifique ? 

Avec Barbie tout est possible, même devenir une grande scientifique. Et bim !

D’après le Bureau du recensement des Etats-Unis, les femmes représentent moins d’un tiers des effectifs des STIM (sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques ). De plus, selon l’Association américaine des femmes diplômées des universitésles jeunes filles seraient systématiquement écartées de ce domaine tout au long de leur scolarité. La célèbre poupée montre  aux jeunes filles qu’elles peuvent être tout ce qu’elles veulent. Barbie poursuit visiblement  son engagement à mettre en avant des modèles féminins inspirants. Il s’agit de briser les barrières mentales et les préjugés sur des carrières pour lesquelles les femmes sont historiquement sous-représentées.

Les déclarations engagées de Lisa McKnight, vice-présidente exécutive et responsable mondiale de Barbie & Poupées, Mattel.

« Barbie s’attache à mettre en avant des femmes qui sont des modèles d’inspiration de tous les milieux, professions et nationalités, afin que les jeunes filles du monde entier puissent se projeter dans des carrières qui ne paraissent pas toujours accessibles »

Lisa McKnight, vice-présidente exécutive et responsable mondiale de Barbie & Poupées, Mattel.
Lisa McKnight, vice-présidente exécutive et responsable mondiale de Barbie & Poupées, Mattel. ©MattelNewsRoom

 « Les STIM sont un domaine où les femmes sont extrêmement sous-représentées et nous espérons que le fait d’honorer ces sept leaders des sciences et de la technologie encouragera les jeunes filles à suivre leur passion dans ce domaine. En cette Journée internationale des droits des femmes, nous sommes fiers de poursuivre nos efforts pour briser le Plafond des Rêves et rappeler aux jeunes filles leur potentiel illimité.

Quand les poupées Barbie représentent des personnalités féminines inspirantes, les petites filles grandissent !

Et ce n’est pas évident pour toutes les les petites filles. A travers le monde, toutes ne grandissent pas avec les mêmes rêves et surtout pas avec les mêmes chances de les réaliser. Et oui, c’est encore une triste réalité en 2023 ! Le combat continue donc. On imagine bien que les jouets, les filles… pour certains tout cela reste reléguer au fond d’un placard, comme un non sujet. Trop superficiel ? Pourtant c’est une question éminemment politique et sociale. On ne va pas vous refaire un cours sur le phénomène d’identification par le jeu, ni sur l’importance et les pouvoirs de l’imagination pour bien grandir. C’est pourquoi, nous ne pouvons que nous réjouir de ces nouvelles venues chez Barbie.  Parmi les profils sélectionnés, on compte notamment trois sœurs américaines, Susan, Anne et Janet Wojcicki, chacune affichant un parcours et une position d’exception.

Les soeurs Wojcicki inspirent Barbie
Trois sœurs américaines, Janet, Anne et Susan Wojcicki, chacune affichant un parcours et une position d’exception. ©Mattel/Rebellissime

Avez-vous joué à la poupée Barbie ? Alors vous serez scientifique, mademoiselle !

Anne Wojcicki, PDG de 23andMe fait partie de ces femmes inspirantes devenue modèle Barbie…

« Ça me paraît irréel que les histoires de ma famille puissent intéresser et avoir un impact sur la vie de jeunes filles du monde entier. Mes sœurs faisaient partie de mes plus importants modèles d’inspiration lorsque j’étais jeune, et nous avons toutes construit des carrières en lien avec notre intérêt pour les STIM. En grandissant, nos parents ont encouragé notre indépendance et nourri la conviction que nous pouvions vraiment être ce que nous voulions, mais que le plus important était de poursuivre une passion »

Anne Wojcicki (Etats-Unis) : cofondatrice et PDG de 23andME et sa Barbie
Anne Wojcicki (Etats-Unis) : cofondatrice et PDG de 23andME et sa Barbie. ©Mattel/Rebellissime

 « Je suis honorée de célébrer cette année la Journée internationale des droits des femmes avec Barbie®, aux côtés de ma famille et de ces femmes puissantes qui occupent des postes influents dans le domaine des STIM. J’espère que le fait de partager nos histoires encouragera les jeunes filles à essayer des choses nouvelles, à affronter ce qui peut leur faire peur, et à voir les défis comme des opportunités passionnantes. »

Pas de carrière dans l’univers des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques sans voir jouer à la poupée !

Susan Wojcicki, conseillère spéciale de Google et d’Alphabet fait elle aussi partie de la nouvelle collection Barbie

« En grandissant, je n’imaginais pas que je ferais carrière dans le secteur de la technologie »

Susan Wojcicki (Etats-Unis) : PDG de longue date de YouTube et sa Barbie
Susan Wojcicki (Etats-Unis) : PDG de longue date de YouTube et sa Barbie. ©Mattel/Rebellsisime

« Mes sœurs et moi avons trouvé un travail que nous aimons, et nous avons découvert à quel point les carrières dans les STIM peuvent être créatives et épanouissantes pour les femmes. J’ai passé près de 25 ans à travailler chez Google et neuf ans en tant que PDG de YouTube, et ce fut dans l’ensemble une expérience incroyable. J’espère que la célébration de la Journée internationale des droits des femmes par Barbie® rappellera aux jeunes filles du monde entier qu’elles peuvent faire tout ce qu’elles veulent. »

Janet Wojcicki, est professeure de pédiatrie et d’épidémiologie à l’USCF. Son témoignage en dit long sur l’importance et le chemin à parcouru pour faire bouger les choses.

« Du fait de ma propre expérience, je sais qu’il est essentiel pour les jeunes filles d’avoir des modèles d’inspiration, afin d’appréhender ce qui est possible. Lorsque j’ai commencé ma carrière, j’ai eu du mal à trouver des histoires inspirantes de femmes excellant dans les STIM, et en particulier dans le domaine de l’épidémiologie »

Janet Wojcicki (Etats-Unis) : professeure de pédiatrie et d’épidémiologie à l’université de Californie à San Francisco (UCSF) et sa Barbie.
Janet Wojcicki (Etats-Unis) : professeure de pédiatrie et d’épidémiologie à l’université de Californie à San Francisco (UCSF) et sa Barbie. ©Mattel/Rebellissime

« Je suis impressionnée par l’importance croissante de Barbie® pour les jeunes filles du monde entier. J’ai même pu constater, dans le cadre de mon travail, cette importance de Barbie® pour les jeunes filles latino-américaines et d’Afrique subsaharienne. Je suis honorée de servir de modèle d’inspiration pour Barbie® cette année, et de contribuer à ce que les enfants du monde entier voient des femmes à des postes qu’ils voudront peut-être occuper un jour. »

Katya Echazarreta (Mexique) : ingénieure électricienne et vulgarisatrice scientifique... et sa Barbie
Katya Echazarreta (Mexique) : ingénieure électricienne et vulgarisatrice scientifique… et sa Barbie. ©Mattel
Dr Maggie Aderin-Pocock (Royaume-Uni) : astrophysicienne et éducatrice scientifique... et sa Barbie
Dr Maggie Aderin-Pocock (Royaume-Uni) : astrophysicienne et éducatrice scientifique… et sa Barbie. ©Mattel
Li Yinuo (Chine) : cofondatrice d’ETU Education... et sa Barbie !
Li Yinuo (Chine) : cofondatrice d’ETU Education… et sa Barbie ! ©Mattel
Antje Boetius (Allemagne) : microbiologiste et chercheuse
Antje Boetius (Allemagne) : microbiologiste et chercheuse… t sa Barbie ! ©Mattel

 

Dépasser le phénomène du plafond des rêves en jouant à la poupée Barbie 

La recherche montre qu’à partir de l’âge de cinq ans, de nombreuses petites filles commencent à développer des croyances auto-limitantes. Elles pensent qu’elles ne sont pas aussi intelligentes et capables que les garçons. Elles cessent alors de croire que leur genre leur permet de devenir ce qu’elles veulent. Ce problème est appelé « le plafond des rêves ». Pour aider à le briser, Barbie® a lancé en 2018 le projet Dream Gap – une initiative mondiale qui est actuellement mener pour donner aux petites filles les ressources et le soutien nécessaires dont elles ont besoin pour continuer à croire en elles-mêmes.

C’est quoi le projet Plafond des rêves ?

Dans le cadre d’un engagement plus poussé en faveur de l’égalité des chances pour les jeunes filles du monde entier, Barbie a mis en place en 2018 le projet Dream Gap3 (le Plafond des Rêves). Cette initiative mondiale pluriannuelle sensibilise aux facteurs limitatifs qui empêchent les jeunes filles d’atteindre leur plein potentiel. Depuis son lancement, la marque a investi plus de 1,5 million de dollars dans ce projet en faveur de partenaires à but non lucratif. La mission de ces derniers est d’atteindre l’égalité en travaillant sur l’éducation, les compétences en matière de leadership et les opportunités de mentorat pour les jeunes filles.

En France, Barbie rend également hommage depuis plusieurs années à des femmes d’exception

Barbie Hélène Darroze fait son apparition en 2018
Barbie Hélène Darroze fait son apparition en 2018 ©Mattel
Barbie Amandine Thierry en 2020.
Barbie Amandine Thierry en 2020. © Mattel
Barbie Lena Situations en 2022
Barbie Lena Situations en 2022. ©Mattel

Hélène Darroze, cheffe étoilée mondialement connue (2018), Amandine Henry, footballeuse internationale française (2020) ou encore Lena Situations, créatrice de contenus, vidéaste et auteure (2022), ont été ont été choisies par Barbie pour devenir les voix du projet « le plafond des rêves ».

Pour l’égalité des jeunes filles du monde entier

Barbie® a travaillé avec Susan Wojcicki sur un contenu « court » personnalisé produit par YouTube. Dans cette vidéo, Susan répond à des questions sur l’autonomisation. Elle y partage les leçons apprises tout au long de son parcours. C’est ainsi qu’elle devient PDG dans le secteur de la technologie. Par ailleurs, Barbie® rendra hommage à tous ces modèles d’inspiration du monde entier. On attend avec impatience cet épisode spécial de la série Barbie® « Tu peux être tout ce que tu veux ». Il s’agit d’une série en ligne de conversations avec des modèles féminins d’inspiration. Anne Wojcicki parlera du côté divertissant des sciences, de la génétique et de l’ADN avec des enfants du Boys and Girls Club.

 

Passionnant ! Engageant ! Si le sujet vous intéresse…. Si comme nous, vous pensez que ces sujets sont taxés de féminins, de manière trop souvent péjorative. Et si comme nous, vous êtes convaincus qu’ils sont en fait des sujets éminemment politiques et sociétaux… N’hésitez pas à partager, commenter, poser vos questions, soumettre les sujets que vous aimeriez que l’on traite.

Allez, je retourne jouer à la poupée !

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