Gravity Rush remastered, sur PS4

Voici venue, la version PS4 de Gravity Rush, dédiée à tous ceux qui ont envie de sauver le monde mais qui aiment aussi se mettre la tête à l’envers.

L’avis de Sarcifal, papa gamer

Bon allez j’avoue la timidité. Première fois, ça émeut. Après réflexion, on peut parler de sensations en abordant le jeu en profane. Un début, quoi.

Donc on se lance. Au premier contact, on embarque dans un univers particulier. «C’est comment la bédé belge avec les super dessins?» «- Schuiten!» «-Ah oui, sympa»

L’univers graphique est particulier et intéressant. On débarque, ailleurs, ça rafraîchit.

Ensuite, l’histoire et le gameplay. La prise en main du jeu est du même ordre : étrange. Juste ce qu’il faut de difficulté, à se mettre dedans, pour que l’interrogation et la curiosité viennent. Il y a des choses à travailler.

Les quêtes sont un peu simplettes. L’histoire n’éveille pas initialement une attention prononcée. Certains éléments laissent entrevoir une suite plus dense.

Renseignement pris, il s’agit d’une reuh-masterisation d’un tube PsVita.

Mes sensations n’étaient pas trop mauvaises. Parfait pour une adolescente. Speed, fun, décalé. De ce que j’ai lu, un manque de profondeur. Les expectatives ne sont pas levées. Mais à quoi bon tant qu’on passe un bon moment dans un endroit enchanteur. J’en reprendrai bien un peu pour voir.

 

L’avis de la Yes Family

Univers particulier et totalement inconnu pour la maman, ni joueuse de jeux vidéo, ni adepte de mangas… Prise en main complètement impossible, je confie direct les manette au fils. 10 ans

J’ai voulu en savoir un peu plus sur l’histoire, pour me motiver. Gravity Rush, c’est l’histoire de Kat, qui commence sur Vita en 2012. Kat, c’est nous, le joueur, dès le démarrage, on nous débarque à  Hekseville, une ville qui flotte, perdue dans l’espace. Perdue, comme la mémoire de Kat ! On le sent bien, ce sentiment d’être perdue, notamment avec la perte de la gravité qu’il va falloir apprendre à maîtriser au fil des premières minutes de jeu. Et le chat noir qui nous suit partout ? C’est qui ? Bah, on sait pas non plus, on a perdu la mémoire ! Mais c’est lui qui nous aide à contrôler la gravité. Chat de bonne compagnie donc ! On comprend bien que la mission c’est de sauver la ville et ses habitants. On se tape contre les méchants Névis, moitié monstres visqueux à forme changeante, moitié fantômes.  On tente de rétablir l’ordre, la gravité et au passage de comprendre d’où viennent nos pouvoirs et  de retrouver la mémoire. La vie des filles, quoi !

Mon fils reprend donc la manette, il s’amuse : maîtriser le personnage, éclater les Névis, glisser dans tous les sens, en 3D… L’histoire le passionne moins. Dommage, j’aimais bien le voir faire évoluer le personnage et le guider à travers les missions, dans une ambiance… en ahhh….ahhh…ahhh…ahhh… en apesanteur !J’vais peut-être m’y mettre, histoire de relever le défi gravitationnel. Je vous tiens au courant !

Sarcifal et la Yes Family

 

Infos jeux

Editeur : Sony Computer Entertainment Europe

Développeur : Japan Studio

Plateforme : PlayStation 4

Genre : action

Sortie : 3 février 2016

PEGI : 12 ans

Prix : 29,99 €uros

 

17/04/2016

Rebellissime.