Haloween à travers le monde

©Annalise Batista

C’est Halloween, la fête des morts, en français dans le texte la Toussaint ! Ce n’est vraiment pas très joyeux et pourtant c’est une fête qui se fête. Rebellissime fait un petit tour du monde d’Halloween, mais aussi des différentes manière de fêter les morts… 

Le 31 octobre au soir, sorcières et monstres en tous genres à la recherche de friandises devraient déambuler dans les rues. Mais en France, la soirée s’annonce bien plus calme que dans les pays anglo-saxons, d’où vient la coutume. Bien que célébrée par les enfants, Halloween ne séduit pas particulièrement les Français, nombreux à trouver la fête trop commerciale. D’abord appelée All Hallows’ Eve (Veille de la fête de tous les saints) puis Hallows’ Evening, et enfin Halloween par contraction, cette fête anglo-saxonne est essentiellement dédiée aux morts. Pourtant, certains pays se sont appropriés la Fête des morts à leur façon. Entre les punkies d’Angleterre (de grosses betteraves et/ou navets illuminées par des bougies) et les cocce priatorje d’Italie (littéralement, Têtes du Purgatoire), ou encore el Dia de Los Muertos au Mexique, si bien agréablement revisité par le dessin animé Coco de Disney,  beaucoup de pays ont leurs coutumes bien à eux pour célébrer Halloween. On note aussi une tendance à célébrer de manière gaie, chaleureuse et positive… Joyeux Halloween !

 

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Une fête venue du froid

On peut faire remonter l’apparition d’Halloween à plus de 2500 ans. On doit cette célébration aux Celtes et aux Gaulois qui fêtaient alors la fête de Samain. Cela signifie novembre, ou plutôt fin de l’été et des moissons. L’arrivée du sombre et du froid, quoi ! Et ça, ça se fête ? Bah oui, en noir pour la fin de la luminosité et en orange pour la fin des moissons (couleurs d’automne). En Irlande, en Grande-Bretage et dans le nord-ouest de la Gaulle, l’année s’achevait alors à la fin d’octobre lors d’un soir de pleine lune, un soir de fête. C’était l’occasion de célébrer la nouvelle année. C’était aussi le moment où la légende dit qu’une brèche s’ouvrait entre le monde des vivants et celui des morts. Lors de cette fête, se créait une passerelle entre ces deux mondes. Il fallait donc laisser de la nourriture à l’entrée de sa maison pour preuve de prospérité. C’est peut-être de là que viennent les bonbons que l’on distribue aux enfants qui sonnent à la porte ! Les gens se costumaient à l’époque en personnages effrayants pour ne pas être reconnus par les morts qui auraient emprunter la passerelle. Du coup, au fil des siècles, il ne reste plus que les enfants pour se déguiser en fantômes, non plus pour les effrayer ou les éviter mais pour imiter les esprits et aller frapper de porte en porte.

 

Plus au sud

Au Mexique, le fameux Dia de los Muertos, si bien évoqué dans le dessin animé Coco de Disney, la fête des morts se distingue des fêtes chrétiennes de la Toussaint de par son caractère festif et joyeux. Des autels privés dédiés aux défunts sont réalisés dans les maisons en leur honneur. Ils sont couverts d’offrandes, de fleurs, de nourriture. Du 31 octobre au 2 novembre les Mexicains rendent hommage à leurs ancêtres décédés en confectionnant des masques très colorés et des crânes en sucre.

En Haïti, la fête des morts, c’est le 2 novembre, et c’est une date très importante dans le calendrier vaudou. C’est le jour des offrandes aux esprits qui semblent apprécier les cigarettes, les bon plats et le rhum ! Les haïtiens se retrouvent pour faire la fête, danser et boire dans le secret espoir qu’un participant soit possédé par un esprit.

Sur le continent asiatique, on suit un autre calendrier où Halloween ne figure pas ! C’est mi-août que s’organise le festival des fantômes affamés. Dans la tradition boudhiste, les fantômes, c’est-à-dire les morts qui ne sont pas enterrés reviennent sur Terre le septième mois du calendrier lunaire. Ils sont alors énormes, géants, affamés… il faut donc leur cuisiner un festin ! Les Chinois brûlent également des versions en papier d’objets luxueux… Tout cela dans l’espoir que les fantômes e profitent. Quant aux Japonais, durant le festival Obon, les familles visitent leurs ancêtres dans les cimetières, se retrouvent autour de banquets où des places sont toujours réservées pour les défunts. Le Bon Odiri est une danse folklorique populaire effectuée en leur hommage.

Notre rapport à la mort

Selon Tanguy Chatel, sociologue spécialisé dans le funéraire et auteur de « Vivants jusqu’à la mort » -éditions Albin Michel-. « La mort n’est pas qu’un accident qui frappe la vie des individus. C’est un des déterminants fondamentaux de la vie des sociétés, la trame de fond qui les inscrit dans une histoire et dessine en filigrane les évolutions de leur identité. Toutes les sociétés tentent de résister à la mort et à l’éclatement qu’elle vient provoquer. Pour cela, elles se construisent des rites dont la fonction est de produire du sens et du lien. Toutes les sociétés se créent également des moments dédiés à la mort et aux morts, pour ne pas avoir à y penser le reste du temps. Tous les pays, de la France au Mexique, connaissent diversement leur « jour des morts » qui s’inscrit dans cet essai de conjuration sociale de la mort. 

Il en résulte que le rapport à la mort, loin d’être immuable, est dynamique et évolutif selon les époques, les cultures, les générations… Aujourd’hui, dans les sociétés occidentales, les nouvelles générations cherchent à s’affranchir radicalement des précédentes en redéfinissant leur rapport au travail, au lien social, à l’identité, au sexe, à la consommation, à la terre etc. Traversant tout l’espace social, la mort n’échappe évidemment pas à cette remise en question des traditions, avec une plus grande inertie cependant due à son poids culturel. 

On observe que l’austère révérence devant la mort, qui structurait jadis la société ne serait-ce qu’autour de la visibilité du deuil, semble céder aujourd’hui le pas devant le désir plus vif de plutôt célébrer la vie. Le besoin de cérémonie demeure, mais les codes changent. Ni l’être humain, ni la société ne s’affranchissent aisément des défunts puisque nous avons la mort et les morts en héritage… Mais c’est ainsi que la crémation supplante l’inhumation, que le clair (parfois la couleur) estompe le noir, que la musique s’égaye, que les cérémonies se font laïques et personnalisées, que la technologie et parfois un peu de fantaisie s’invitent, etc. 

Par delà le formalisme, le symbolisme de la mort change également. La flamme, les cendres, leur dispersion, évoquent désormais la lumière, la légèreté, la futilité là où il y a peu, la pierre et la terre évoquaient la gravité, l’éternité, la régénération ».

Halloween change de face !

 

Des morts et des fleurs

Qu’en est-il des traditionnels chrysanthèmes, LA plante de saison qui fleurit traditionnellement les tombes pour la Toussaint. Toujours selon Tanguy Chatel, « Le rôle des fleurs évolue lui aussi. Depuis l’antiquité, elles avaient accompagné la mort avant d’être condamnées par l’Eglise pour leur côté trop léger. Au lendemain de la première guerre mondiale, c’est Poincaré qui fit refleurir les tombes. Les robustes chrysanthèmes trouvèrent là leur niche. Mais elles évoquent aujourd’hui moins le soleil levant de leur japon d’origine que la pâle lueur du soleil et les brumes de l’automne, la tristesse et la désuétude.  En phase avec leur époque, nos générations sont donc en train de « toiletter » la mort. Il est probable que, devant ce souci actuel de doter la mort de nouveaux attributs, les fleurs retrouveront un certain engouement: des fleurs variées, plus vives, qu’elles soient coupées (évoquant la vie éphémère) ou en pleine terre (évoquant la renaissance), plus personnalisées, autrement composées, pourraient être la manifestation concrète d’un rapport à la mort moins affligé et plus léger. Sans rien nier de l’importance de l’hommage respectueux dû aux défunts auquel les français demeurent très attachés, sans dénaturer des cérémonies qui conservent une part de gravité, le renouvellement floral pourrait être la touche de lumière et de joie qui embellit la mort, sans prétendre pour autant se jouer d’elle. Le lien entre le passé et le présent, ceux qui sont partis et ceux qui restent, c’est ce supplément d’âme qu’offrent les fleurs. En ce XXIe siècle les temps et les gestes changent… Où les rituels -et ceux de la Fête des Morts n’y échappent pas- sont remis en cause dans une quête de bienveillance et de joie de vivre rassurante…. Les fleurs restent le lien lumineux entre vivants et disparus. Formidables ambassadrices d’amour et de respect, elles les honorent dans la joie ».  Le chrysanthème dans son pot  prend un petit coup de jeune et on se réjouit de voir les mois plus froids un peu plus fleuris.

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Que font les Français pour halloween, selon quitoque.fr 

Quitoque, leader français sur le marché des panier-recettes livrés à domicile. Les abonnés reçoivent chaque semaine un panier contenant tous les ingrédients ainsi que les recettes pour réaliser 4 à 5 repas. Les produits sont sélectionnés avec soin pour leur fraîcheur et leur qualité. Les recettes sont imaginées par la Chef Céline Nguyen, co-fondatrice de la marque ; elles sont faciles, originales, et équilibrées. La livraison est gratuite et possible partout en France métropolitaine. Pas mal comme alternative aux courses du quotidien !  Quitoque a mené une enquête, réalisée sur 8.034 personnes représentatives de la population nationale française, âgées de 18 ans et plus, et ayant au moins un enfant. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire Buzzpress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 17 au 21 octobre 2018. Profils : 50% d’hommes et 50% de femmes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives. Et il en ressort :

Plus d’activités avec les enfants : si les familles ne partent pas en voyage, elles profitent de leurs enfants. Plus de 67% des mamans et 59% des papas déclarent qu’ils profitent de la Toussaint pour avoir des activités avec leurs enfants. Parmi toutes les idées possibles et imaginables, 10 activités ressortent clairement dans les choix des Français. Cuisiner en famille arrive en tête avec 33% de votes. Promenades et ballades en famille pour 16% des parents. Enfin, en troisième position, ce sont les visites culturelles qui sont plébiscitées par les familles à 12%… et sans doute moins par les enfants ! Même si Halloween est davantage une fête anglo-saxonne, plus de 48% des parents interrogés déclarent qu’ils vont également la célébrer. Un choix qui est plus fort chez les mamans (56%) et moins présent chez les papas (41%).  C’est en Normandie que cette fête est la plus présente avec 15% de représentativité, juste devant l’Île-de-France à 13% et les Hauts-de-France avec 10%. En revanche, le Centre-Val de Loire, la Corse et les Pays-de-Loire se trouvent en fin de classement avec respectivement 4% et 3%.

La recette Quitoque : Pumkin pie salée

Quitte à avoir creusé une citrouille en famille, autant en profiter pour se concocter un repas aux couleurs d’Halloween.

Pour réaliser cette tarte, voici les ingrédients :

1 citrouille, 1 pâte brisée, 100 g de feta, 150 g de noix.

Les étapes de la recette :

– Préchauffez votre four à 220°C et portez une casserole d’eau à ébullition pour cuire la chair de votre citrouille.

– Taillez les morceaux de chair de citrouille et plongez-les dans l’eau bouillante. Faites cuire 12 à 15 min jusqu’à ce que la citrouille soit bien tendre.

– Déroulez la pâte brisée et disposez-la dans un moule à tarte. Enfournez 10 min.

– Egouttez la feta et émiettez-la dans un bol.

– A l’aide d’un casse-noix, ouvrez les noix. Concassez-les grossièrement.

– Une fois la chair de la citrouille cuite, égouttez-la bien. Remettez-la dans la casserole et écrasez-la grossièrement à l’aide d’une fourchette ou d’un écrase-purée. Salez et poivrez. Ajoutez les noix. Mélangez bien. Disposez ce mélange sur la pâte brisée. Parsemez de feta. Enfournez 10 à 15 min jusqu’à ce que la pâte soit dorée et cuite

www.quitoque.fr 

Des bonbons pour tout le monde 

A l’occasion d’Halloween, Avec Plaisir, la première plateforme de bonnes adresses sans allergènes, lance en France, une 2e opération de sensibilisation et de communication autour des allergies et intolérances alimentaires : « Une citrouille pour les allergiques ». L’ambition d’Avec Plaisir, c’est de pouvoir se faire plaisir n’importe où comme n’importe qui, quelles que soient les contraintes alimentaires (allergie, intolérance, diabète, régime vegan…) des uns et des autres. Fidèle à cette logique, Avec Plaisir a décidé de rejoindre le mouvement de la citrouille turquoise (Teal Pumpkin Project) initié Outre-Atlantique, afin de faire d’Halloween, une fête pour tous ! L’initiative Teal Pumpkin Project est née aux Etats-Unis, en 2014, avant de se répandre au Canada et auQuébec. Elle invite les gens à placer devant leur maison, une citrouille peinte en turquoise, pour indiquer que des surprises non alimentaires seront offertes aux enfants allergiques, le soir d’Halloween. L’objectif est d’offrir le choix ! Rappelons qu’en France, 8% des enfants doivent composer avec des allergies alimentaires. Leur quotidien est souvent synonyme de privations, d’adaptations et parfois d’exclusion. Alors si le temps d’une soirée, ils peuvent profiter de la fête comme tout le monde, n’hésitons pas ! Pour participer à l’opération, rien de plus simple : décorez une citrouille en bleu turquoise pour Halloween, ou apposez sur votre porte, l’affiche de l’opération !

#HalloweenPourTous, le manifeste

Le shopping qui fait peur…

 

Cémoi, l’Authentique Petit Ourson, 6 € environ les 595g

Pour Halloween, le chocolatier français CÉMOI propose ses célèbres petits oursons de guimauve chocolatée, dans un format géant spécial gourmands pour réconforter toute la famille et les amis : une boîte de 595 g !

Une fois tous les Petits Oursons dévorés, cette jolie boîte refermable aux couleurs de l’Authentique Petit Ourson Guimauve CÉMOI, sera également idéale pour stocker toutes les friandises récoltées le soir d’Halloween !

Pour l’occasion, CÉMOI lance son Haaaomètre,  un grand jeu-concours terriblement amusant, avec de nombreux cadeaux à la clé ! Le but : on achète des oursons et on se connecte ! Plus tu cries fort, plus tu as de réconfort ! Le principe est simple : crier dans le micro de son téléphone ou de son ordinateur le plus fort possible pendant 3 secondes pour espérer gagner le meilleur cadeau réconfortant : des box escape game, des entrées pour un parc d’attractions ou encore 1 an de Petit Ourson Guimauve CÉMOI ! On découvre de suite ce que vaut nos cris !

 


Dans les magasins JouéClub !

Non seulement, il y a des jouets, mais on y  trouve aussi des animations et de quoi faire la fête sur la thématique d’Halloween. Du coup, on se déguise, on refait la déco ….


Fanta  fait pétiller l’ambiance en

déversant sa terrible bonne humeur du vendredi 25 au dimanche 27 octobre 2019 au centre commercial LES 4 TEMPS de 10h à 20h!

Un programme hors du commun (des mortels) et encore plus décalé avec un lieu expérientiel éphémère et inédit : Le Fanta Dark Challenge. Au programme : trois salles, trois ambiances, trois expériences ! Les visiteurs devront affronter leurs peurs les plus sombres et relever des défis monstrueusement déjantés : danse, karaoké́, chasse aux zombies et autres

mystérieuses activités seront à découvrir pour une expérience toujours plus

immersive.

 

Le Kara(pas)OK challenge  :

Le challenge est de réussir à ne pas s’arrêter et chanter sa chanson dans son intégralité malgré quelques éléments perturbateurs…(2 à 3 joueurs, durée du jeu : 1min30)

Le Mummy Shoot challenge :

Le challenge est de tuer un maximum de zombies sans toucher les innocents qui sont poursuivis. (4 joueurs, durée du jeu : 2 min 30, dispositif 7D)

Le Scary Danse Challenge  :

Le challenge est de réussir à reproduire des pas de danse sans selaisser déconcentrer !

(2 joueurs, durée du jeu : 1 min)

 

 

Fanta a également prévu une soirée exceptionnelle. Le 31 octobre, la Gaîté Lyrique ouvrira ses portes pour la nuit la plus dark de tout le temps. Pour l’occasion, la salle parisienne sera relookée aux couleurs d’Halloween, avec des guests de folie, des animations mortelles et, accrochez-vous… un showcase exclusif de GIMS ! Les places sont proposées à 5 euros… un prix délirant pour la soirée incontournable d’Halloween. Concerts, Animations Spéciales Halloween et Fiesta de folie ! GIMS, grand parrain de cette 3e édition du FantaXYou, sera présent pour vous offrir un showcase monstrueux. Et il ne sera pas le seul ! Naza, Kawaii flat. Julien Josselin,Freddy Gladieux et Kezah, et la référence des DJ Hip Hop DJ ABDEL pour  finir la soirée en beauté. Open Bar sans alcool, pain d’animations et de surprises : Maquillages Halloween, photocall terrifiant !

Tenue noire exigée, Fanta s’occupe du déguisement !

Informations pratiques :

La Gaité Lyrique, 3bis rue Papin, 75003, Paris

19h30 : Ouverture des portes

23h30 : Fin de la soirée

Billetterie 


Lutti, Mini Panic Fizz, 5 € environ les 420g

En mini-sachets, les Mini Panic Fizz, ces petites nouveautés  acidulées sont aussi terrifiantes que délicieuses !

Lutti, Smiley Fizz Halloween, 4 € environ le boîte de 400g

Des bonbons smiley, ça c’est rigolo surtout avec des têtes bien faites qui piquent !

 

 Comment (et pourquoi d’ailleurs?)  choisir parmi ces assortiments de bonbons aux couleurs et visages d’Halloween à frissonner de plaisir.  Panique ou pas, la soirée sera monstrueusement gourmande ! Parce qu’évidemment, il va falloir les goutter avant des les offrir aux enfants !


Lutti, Scoubidou édition limitée Halloween, 1,80 €environ les 180g

On ne présente plus les fils fruités ! Les voilà en version noir, orange, violet pour fabriquer et dévorer de délicieux scoubidou d’Halloween

 Lutti, Terror Mix, 5,40 €environ le boîte de 500g

Un assortiments de terrifiants gélifiés doux. C’est doux, effrayant et rigolo en même temps!

 


 

Têtes Brûlées, sac des Bonbons ou un sort, 5 € environ le sac contenant 3 sachets (515g)

Les 3 sachets proposés dans le sac réutilisable : Têtes Brûlées Kitache Ki

Têtes Brûlées Billes Pong Têtes Brûlées Tet’AClak… Le principe est simple. D’abord, on vide le sac, soit en dévorant son contenu, soit en le distribuant, soit le deux ! Ensuite, on part à la chasse aux bonbons, avec le sac  qui réutilisable devient le réceptacle idéal pour récoler les friandises le soir d’Halloween ! Avec sa couleur dominante orange, ses illustrations caractéristiques comme les sorcières, chauves-souris, citrouilles… et sa mascotte déguisée en vampire, ce sac a tout pour plaire aux apprentis sorciers ! De plus, il est équipé de petits hublots transparents qui permettent de repérer la quantité de bonbons récoltés : « Un peu », « Pas mal », etc. Le défi à relever pour les enfants consiste à atteindre le haut du sachet pour voir leur récolte à travers le hublot « Monstrueusement »… signifiant que leur sac est rempli à ras bord


 

Têtes Brûlées relookées 

La Marque se lâche et nous présente des produits adoptant de nouvelles têtes mais aussi de nouveaux codes ! Les petites têtes de ces fameux bonbons que les enfants adorent parce qu’ils piquent vraiment, ont maintenant l’air complètement dingues ! Drôle et déjantées !  Les noms des produits sont toujours aussi drôles et déjantés ! On trouve maintenant une jauge d’intensité   pour savoir à quelles sensations s’attendre : « ça pique », « ça pique un max » ou « ça arrache»… Comme cela, vous serez prévenus !


 

Têtes Brûlées, La Boîte spécial Mif, 5 € environ les 500g

C’est la boîte de la famille ! Famille de gourmands et de rigolos, évidemment ! Des sucettes aux barres en passant par les billes, il y en a pour tous les goûts pour encore plus de fun, avec six variétés différentes de Têtes Brûlées ! La boîte contient un assortiment de : Barre Kitache, Bikicoule Tropical, Bille Star Framboise, Barre Fraise, Bille Choc Termik hot, Sucette Kitache.Pour s’éclater davantage, vous y trouverez un Livret de 10 Défis à relever et à partager sur les réseaux sociaux des Têtes Brûlées : Facebook, Twitter, Instagram ou Snapchat.


 

Kinder, Schoko Bons, 5,50 € les 330g, 7 € les 465g et 10 € les 750g 

 4 design Halloween pour la gamme Kinder Schoko-bons, en édition limitée chez Carrefour, Lidl, Cora, Auchan et Simply Market, Casino, Monoprix, Leader Price et Système U.


Starbucks, Vampire Frappuccino, 5,45 € environ, en édition limite jusqu’au 31 octobre 

 La boisson la plus sanglante de Starbucks est de retour pour célébrer Halloween. Idéale pour parfaire son costume de Dracula et s’accorder une friandise en cette période affreusement festive. Sa crème à base de mocha Frappuccino mélangée à un délicieux sirop de fraise, le tout surmonté de crème fouettée et d’un filet de fraise, provoqueront à coup sur le grand frisson… de gourmandise!

 


 

Virginie Legourd

 

Mise à jour le 22 Octobre 2019